Chaque 24 décembre, je vous glisse un conte de Noël en lecture libre sur mon site. Une petite tradition maison, née il y a une douzaine d’années presque par accident (et probablement alimentée par une surconsommation de chocolat blanc). Cette fois encore, je n’ai pas résisté : il fallait que je m’y remette.

Puis nous avons tiré au sort.

Et de mon côté, vous m’avez offert un combo digne d’un téléfilm diffusé à 14 h un dimanche de digestion difficile :

Autant vous dire que mon cerveau a commencé à fumer à ce moment-là.
J’ai trituré ces deux clichés. Et tordus. Et passés au broyeur à idées bancales.

Résultat :

Un conte de Noël qui ne ressemble à absolument rien de ce que la tradition attend, et c’est bien ça le plaisir.
On y croise :
– un gamin bien plus futé que les adultes qui l’entourent,
– deux ravisseurs dont le QI cumulé ne dépasse pas la température extérieure (ambiance Palmashow et Bloqués)
– une Twingo jaune qui n’a jamais demandé à finir là,
– zéro magie, zéro renne, zéro Père Noël,
– et pourtant, un petit quelque chose qui ressemble, de très loin, à de la tendresse (mais chut, pas trop fort, ça pourrait s’enfuir).

Si j’ai réussi mon coup, vous devriez rire, grimacer, et peut-être même lâcher un petit « ohhhhh… » à la fin.

Comme chaque année, le conte est disponible gratuitement, lisible sans compte, sans pub.
Juste vous, moi, et une Twingo jaune.

Le conte de Sealeha, qui a tiré « “Le héros qui trouve enfin le vrai sens de Noël…” et “Le bonheur de se lever le 25 décembre pour aller ouvrir son cadeau et voir qu’il a neigé.”, est disponible sur son site.

Joyeux Noël, et merci d’être là, de lire, de commenter, de suivre mes délires et mes livres.
Promis, en 2026, je n’écrirai pas un conte avec un renne qui tombe amoureux d’une influenceuse.
(Enfin… normalement.)

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