Plusieurs personnes me le réclament depuis longtemps, et je dois avouer que ça me gratouille aussi. J’inaugure donc un tout nouveau rendez-vous sur le site : les comptes-rendus de mes lectures, en terme savant, les recensions.
Alors, mettons tout de suite les choses au clair : ne vous attendez pas à ce que je vous ponde un billet de façon régulière, du genre tous les samedis à 18h47, le cachet de l’horloge faisant foi. Déjà, encore faut-il que j’aie un livre coup de cœur à vous partager (parce que même si la critique est importante, bonne comme mauvaise, je n’ai pas envie d’écrire pour dire du mal d’un auteur ou d’un livre).
Ensuite, j’ai toujours eu beaucoup de mal à accepter les contraintes, je ne vais pas sciemment m’en rajouter une, toute seule comme une grande. Pas maso, la guêpe !
La catégorie thrillers au sens large étant mon genre de prédilection, ne vous étonnez pas si elle est surreprésentée dans mes recensions, c’est finalement assez logique. J’aime ça, je ne m’en lasse pas, j’en dévore des quantités astronomiques.
Pour rester dans l’imagerie culinaire, j’ai bien conscience qu’une partie de ce que j’ingurgite est de l’ordre du fast-food, le kebab vite avalé sur un coin de table, qui remplit le ventre sans rien de gastronomique (d’ailleurs, en parlant de kebab… Non, chuuuut, je ne dis rien, vous verrez bien). N’apprécie-t-on pas mieux un vrai bon repas si on se régale aussi de snacks divers ?
Dans la mesure du possible, j’éviterai de présenter les « grands » avec pignon sur rue, qui n’ont nul besoin de mon modeste coup de pouce pour vendre et être lus. Des gars comme James Patterson, par exemple, j’en lis mais je ne vous en parlerai pas. Ces romans vite écrits, vite lus, vites oubliés, que l’on peut suivre d’un œil dans la salle d’attente du toubib, j’adore mais je n’en parle pas.
Et n’y voyez aucun snobisme, ou une quelconque marque de mépris. Patterson est un grand bonhomme, un faiseur habile, qui émarge sur la liste des plus grandes fortunes littéraires mondiales. Et qui distribue régulièrement une partie de ses gains au bénéfice de la construction et de l’approvisionnement de bibliothèques publiques.
Respect, Mister !
Je vous parlerai plutôt des petits, des « pas-encore-connus-mais-qui-mériteraient-de-l’être », auto-édités ou publiés dans des petites maisons.
à très vite !
bravo ma fille ! je te reconnais bien là ! fierté pour moi !
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